Prépa ATS : témoignages

« Issu d’un BTS SNIR, je n’avais jamais envisagé poursuivre des études d’ingénieur. Pourtant, mon année en prépa ATS (2023/2024) a tout changé. Grâce à des professeurs passionnés et attentifs, chacun trouve les ressources pour progresser à son rythme et atteindre ses objectifs. Cette année intense m’a non seulement permis de me dépasser, mais aussi d’acquérir les clés pour accéder aux plus grandes écoles. Grâce à cette expérience, j’ai pu intégrer Télécom Paris, tout en conservant le solide bagage technique acquis lors de mon BTS.

Encore merci pour cette année ! »

« Après un BTS en conception de produits industriels à Besançon et le désir de poursuivre mes études, j’ai décidé de quitter ma Franche-Comté pour m’installer pendant un an chez nos meilleures ennemis en Bourgogne. Ceci afin de suivre les cours de prépa ATS et ainsi m’ouvrir de nouveaux horizons.

Cette année a été extrêmement intense, marquée par une charge de travail considérable. Dès la rentrée de septembre, je savais que j’allais devoir mettre de côté le reste de ma vie pour me concentrer pleinement sur l’apprentissage de nouvelles notions et me remettre à niveau en maths, physique, électro, méca… Cette année fut la plus difficile et exigeante de ma scolarité en termes de travail, mais aussi celle qui m’a permis de rencontrer des personnes incroyables. L’ambiance d’entraide entre nous, couplée à la bienveillance des professeurs, a été un facteur déterminant dans ma réussite en prépa.

Après les écrits et les oraux, j’ai eu la chance d’intégrer l’école d’ingénieurs Centrale Nantes en cursus classique grâce au concours ATS. De plus en plus d’écoles d’ingénieurs réservent des places de leur promo entrante pour ce concours (J’ai ainsi pu refuser d’intégrer certaines écoles d’ingénieurs qui, un an plus tôt en sortant de BTS, m’avaient fermées leurs portes 😜).

Bien sûr, ma première année à Centrale Nantes, qui est composée exclusivement du tronc commun (conçu principalement pour des élèves sortant de prépas « classiques ») a été compliquée, mais rien à voir avec la prépa ATS. En seconde année, j’ai choisi l’option Ingénierie de produit, qui m’a permis de me recentrer sur les matières qui m’intéressaient le plus. Enfin j’ai terminé mon parcours scolaire au Canada, avec un double diplôme en génie industriel à Polytechnique Montréal.Après plus de deux ans en tant qu’expatrié, je suis revenu en France pour faire mes premières armes dans une entreprise chimique, dans laquelle je travaille en tant que chef de projet sur des équipements d’injection de polymères, utilisés chez nos clients dans divers domaines, tels que le traitement de l’eau ou la fabrication de papier.

Si je devais donner un conseil à la nouvelle génération (ça fait bientôt 6 ans que l’on a quitté Eiffel, ça donne un p’tit coup de vieux !), ce serait de se préparer mentalement à s’investir à 100% dans les études pendant les 8-9 mois de la prépa ATS. La quantité de notions à assimiler, combinée aux nombreuses heures de colles et de DS, exige un travail soutenu et régulier tout au long de l’année. Bien sûr, il est aussi important de garder quelques activités extra-scolaires pour pouvoir souffler et couper un peu avec les révisions. Ce furent les premières et dernières fois de ma vie où j’ai parfois privilégié réviser et faire des fiches Bristol plutôt que d’aller boire un verre ! 😄

Cette prépa ATS a été un véritable tremplin pour ma vie professionnelle et m’a ouvert des portes et des opportunités que je n’aurais jamais rencontrées sans la prépa ATS. C’est pourquoi je ne peux que conseiller aux étudiants motivés, sortant de BTS ou de BUT et qui souhaitent poursuivre en école d’ingénieur, de s’inscrire en prépa ATS et de s’accrocher durant ces quelques mois.

Croyez-moi, le jeu en vaut vraiment la chandelle ! »

« ATS Dijon : l’année la plus utile de mes études.

J’ai choisi d’intégrer la prépa ATS après un BTS dans le domaine du bâtiment et un bac Scientifique, afin d’acquérir le niveau nécessaire à une poursuite d’étude en école d’ingénieur. L’année passée au lycée Eiffel a fait évoluer mon point de vue vis-à-vis de certaines matières, jusqu’à me faire changer totalement de domaine d’études (micro-mécaniques à l’ENSMM). J’y ai acquis de nombreuses nouvelles notions me permettant d’être à l’aise dans les différents domaines proposés en école d’ingénieur.

Mais ATS Dijon, c’est aussi de nouvelles connaissances, des liens forts et des amitiés qui se créent. Je recommande cette filière à tous les étudiants déterminés à intégrer une école : c’est une excellente passerelle si vous êtes déterminés à travailler pour réussir ! »

« Je partage mon parcours, qui, bien que quelque peu atypique, pourrait inspirer certains d’entre vous.

Issu d’un BTS SIO, j’ai décidé de poursuivre en classe ATS, une année qui m’a énormément apporté, tant sur le plan personnel qu’intellectuel. Cela m’a permis de surmonter un handicap de longue date : mon rapport aux matières scientifiques. Grâce à cette année de prépa, j’ai pu développer une véritable aisance dans ces disciplines et acquérir une méthode de travail solide.

Après cette expérience enrichissante, j’ai poursuivi mes études avec un master professionnel en informatique au CFA ITIS . Aujourd’hui, je travaille comme Apprenti ingénieur DevOps au sein du groupe EDF.Je recommande fortement la classe ATS, même si un minimum de bases en sciences est nécessaire. Cette année a été un véritable tremplin pour moi. Elle m’a donné la confiance et les outils nécessaires pour réussir dans un master professionnel, tout en m’apportant une excellente culture scientifique.
Alors, n’hésitez pas : foncez ! »

« Après la prépa ATS en 2021-2022, venant d’un DUT Mesures Physiques, j’ai rejoint l’école d’ingénieurs biomédicaux de Besançon.
Je suis très heureux de mon parcours. Le passage par l’ATS m’a permis de rejoindre une grande école dont je suis très fier, et cette année fut pour moi aussi riche en enseignement qu’en rencontres humaines. Me voilà trois ans plus tard, bientôt diplômé !
Merci pour ces précieux enseignements, je peux vous assurer que ça m’a beaucoup servi.
Continuez à guider les jeunes ! »

« Alors, dans la catégorie « vétérans » :

J’étais en prépa ATS en… 1992-1993 après un BTS d’électronique. Après cette année de dur labeur et quelques week-end spéléo formateur avec Titi, je suis entré à l’INSA de Strasbourg.

Diplômé en 1996, j’ai commencé ma carrière dans l’industrie dans le domaine de la robotique, j’y suis resté pendant 20 ans (j’étais associé chez ALSTEF à Rennes en charge de l’innovation). En 2012, j’ai soutenu un doctorat en sciences de gestion et j’ai commencé à enseigner dans les écoles d’ingénieurs (ENSAM, CentraleSupelec, IMTA…) en parallèle de mon travail d’ingénieur. Depuis 5 ans, j’ai rejoint le domaine de la recherche appliquée, je travaille à l’Institut de Recherche Technologique Jules Verne à Nantes ou je m’occupe du transfert de technologies. J’ai toujours une activité d’enseignement en innovation technologique.La prépa a été pour moi une transition riche et formatrice et m’a donné une ouverture dans l’ingénierie après une formation de technicien. »

« À toi jeune titulaire d’un DUT ou d’un BTS,

Je m’appelle Vincent Bié, j’ai 25 ans et je suis actuellement Ingénieur Validation dans le Biomédical à Besançon (25).

Comment j’en suis arrivé là ? J’ai obtenu mon DUT Mesures Physiques au Creusot (71) en 2016 mais je ne savais pas quelle école d’ingénieur je voulais intégrer et, on ne va pas se le cacher, je manquais de connaissances et de rigueur.

Je suis donc retourné au Lycée, en classe préparatoire ATS à Dijon (21) où j’ai pu améliorer mon niveau et assimiler une méthode de travail adéquate.
Cette année scolaire de plus m’a permis de trouver l’école qui me correspondait et j’ai donc postulé pour intégrer l’ISIFC sur dossier.

Les compétences acquises au Lycée Eiffel m’ont permis d’être accepté et je suis donc reparti pour 3 années d’études en génie biomédical à Besançon.
Le secteur de la santé étant particulièrement porteur et peu impacté par la situation sanitaire qui nous touche, j’ai obtenu un CDI à la sortie de l’école au sein de STATICE qui est un sous-traitant qui développe et fabrique des dispositifs médicaux. En tant qu’Ingénieur Validation, je m’assure que l’ensemble des procédés de fabrication sont conformes à la réglementation en réalisant des tests en tout genre. »

Robin DURIOT – janvier 2021

ATS 2012 + DUT Génie Mécanique et Productique

 

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